Le mot du président
« L'exercice de la sécurité civile induit une responsabilité importante vis à vis des calédoniens. La dynamique engagée est la bonne, elle a démontré son efficacité concrète sur le terrain des opérations, en Nouvelle-Calédonie depuis plus d'un an et, plus récemment, au Vanuatu. La DSCGR, qui applique sur le terrain la politique du gouvernement en matière de sécurité civile, a régulièrement apporté son concours aux maires des communes que ce soit dans la lutte contre les feux de forêt, les événements météorologiques dangereux ou encore les inondations.
Il nous faudra aller encore plus loin pour mieux structurer la réponse en matière de sécurité civile en soutenant les communes dans leur effort de développement mais également en lançant la réflexion dans un premier temps, et le chantier par la suite, d'une mutualisation territoriale de certains outils et moyens. Je pense notamment à l'alerte qui, à l'instar de la centralisation en cours des sirènes "Tsunami", pourra à terme, intégrer et centraliser les appels "18" au sein d’une structure territoriale efficace et unique. Ce projet fondateur ne pourra se réaliser sans l'adhésion des communes, toutes déjà très impliquées sur ce sujet. »